La réponse est pour moi limpide : non. Avant 2011, c’est-à-dire avant que Google ne s’intéresse de plus près à la qualité du contenu de nos sites (filtre panda) et du comportement utilisateur, l’externalisation du référencement était tout à fait envisageable et répandue. Aujourd’hui, pour inscrire un projet dans une stratégie de « référencement durable », les leviers sont plus nombreux et complexes que la simple soumission dans les annuaires et plateformes de communiqués de presse.
Ces dernières évolutions majeures de Google, en matière d’algorithme, ont poussé les référenceurs à s’adapter et à étendre leur rayon d’action. Les plus professionnels savent que le succès d’un site passe avant tout par la qualité intrinsèque de ce dernier alors qu’autrefois le simple fait d’envoyer du lien à gogo suffisait. Si beaucoup ont su s’adapter, l’idée que se fait une majorité de (mes) clients sur le référencement est bien souvent obsolète. Bien souvent, ils attendent du SEO ce qu’ils souhaitent, et non ce dont ils ont vraiment besoin.
La nécessité de sensibiliser le client est de plus en plus une réalité. Je ne dis pas qu’il faille convertir tous les clients en expert SEO, mais d’inculquer la logique et les fondamentaux afin qu’ils produisent un travail optimal ne nécessitant pas d’être repris et corrigé en permanence par une entreprise externe. A la base, le SEO c’est avant tout une question de bon sens, et le bon sens ça ne se sous-traite pas si ce n’est par le conseil et la formation.
Le contenu par exemple qui est une arme majeure en SEO : en quoi un référenceur serait-il plus apte à parler efficacement d’un produit/service/sujet dont il ne connaît rien ou presque ? Et un Malgache ? Mouarf…
Le contenu doit être le prolongement du savoir-faire de l’éditeur du site, le trait d’union entre ses visiteurs et lui. Le contenu « chair à moteur », sans valeur ajoutée, sera laissé aux supports déportés, mais pas tous !
Connaître la valeur (€) des mots, apprendre à les trouver, jouer sur les co-occurrences, structurer son site et ses liens, rechercher de nouvelles niches… tout ceci n’a rien de technique et est tellement bénéfique une fois intégré en interne !
Pour le socle technique, c’est la même chose. Si le développement du site a été réalisé en interne, il faut vraiment être obtu pour ne pas vouloir intégrer les fondamentaux et capitaliser ainsi sur les développements à venir.
"Oui mais pour avoir des backlinks c’est long et fastidieux !" C’est complètement vrai. En même temps, il faut commencer par avoir un vrai contenu, et savoir communiquer sur sa marque. Le linking, le vrai « 100% bio », arrive généralement après, sans qu’on ait à pousser artificiellement les choses. Et quand bien même, il faut parfois donner un coup de pouce et créer un peu de linking, car le concurrent le fait et est devant : d’une part ce n’est pas sur qu’il y reste, et un bon lien se doit de baigner dans un bon contenu, et pour le pondre, c’est encore le client qui en parle le mieux… bref, c’est le serpent qui se mord la queue.
Bon ok, en matière de netlinking il faut dans certaines circonstances savoir prendre plus de risques et envoyer du lourd. En fonction du profil de client, mes devis proposent soit une sous-traitance complète soit, pour les moins frileux, une aide à la création de backlinks, à la recherche de spots, aux bonnes pratiques, à l’utilisation des outils etc.
Je pourrais également évoquer l’utilisation des réseaux sociaux, créneau devenu très important en matière de visibilité et sur lequel beaucoup sont largués. Il faut là aussi éduquer, et se battre contre les préjugés. Sous-traiter la présence sur Facebook, Twitter Linkedin, etc. ? En mettant un community manager sur le coup, imprégné de la culture de l’entreprise, ok, mais ce n’est pas forcément à la portée de tous. Confier la tâche à un référenceur freelance, qui confiera le boulot à son bot, non ! La présence en carton sur les réseaux sociaux, très peu pour moi, je ne mise pas un sou là-dessus.
Hélas, trop de prospects et clients se montrent hermétiques. Ils n’arrivent pas à concevoir qu’ils puissent devenir les acteurs principaux de leur visibilité naturelle, et que le référenceur puisse se positionner en véritable consultant. Certains sont restés à l’âge de pierre du SEO et s’obstinent à croire que tout est affaire de soumissions dans les annuaires ou CP. Il faut une patience infinie pour expliquer que ces méthodes sont devenues risquées et qu’il est préférable d’utiliser ces leviers dans des stratégies de dilution, et de visibilité déportée par exemple. Ces subtilités il faut bien souvent les faire comprendre au client avant d’envoyer un quelconque devis… Et quand j’ai en réponse « je pense que nous allons plutôt nous diriger vers une solution tout compris », je me dis forcément que c’est sans doute l’inverse.
Je ne compte plus les heures au téléphone ou via skype pour raisonner les prospects, et les ramener à la réalité. Tiens, ça pourrait faire l’objet d’un vaste sujet ça aussi : le SEO doit-il se muer en « Psy » et passer tous ses clients sur le divan en amont de toute prestation ? Idéalement ce serait bien, car très souvent les problèmes viennent de là.
Quelle attitude « éthique » adopter en tant que prestataire ?
Pour moi qui suis consultant SEO indépendant, et qui ne peut offrir une palette de services aussi étoffés qu’une agence, je m’efforce de jouer la carte de la formation et de l’autonomie. Intégrer la notion de SEO chez les éditeurs de sites permet également de diminuer significativement les coûts et surtout de capitaliser sur le long terme. En référencement naturel, c’est important.
Face au manque de recul et aux idées reçues de certains prospects, il est parfois tentant de leur proposer ce qu’ils veulent entendre et pas forcément ce dont ils ont vraiment besoin. Dans le cas contraire, si les arguments et le bon sens ne suffisent pas à les convaincre, ils iront de toute façon se rabattre vers des référenceurs cupides et moins scrupuleux. Autant leur couper l’herbe sous le pied non ? Personnellement je ne le fais pas, préférant laisser libre le client avec ses convictions, non sans l’avoir prévenu (conseil 100% gratuit).
En revanche je fais systématiquement un snapshot du positionnement générale et backlinks du site des prospects perdus pour comparer 6 mois après. Quand rien ne bouge, ou que ça se casse la gueule, c’est toujours grisant d’envoyer un petit message en guise de relance !
Consultant freelance vs agence
Au-delà de la sensibilisation au SEO, les clients doivent également être informés des services qu’ils peuvent recevoir d’un prestataire freelance comparé à une véritable agence regroupant un éventail complet de compétences. L’agence, à condition qu’elle soit pleinement compétente, pourra proposer à son client de se charger de tout, y compris du contenu. Ca va lui coûter beaucoup plus cher, et il sera tout le temps tributaire de cette agence s’il souhaite que sa visibilité perdure. Beaucoup de personnes se fourvoient en allant taper à la porte de référenceurs indépendants en espérant avoir l’envergure d’un travail digne d’une agence à la clé… faut pas rêver. Et je ne dis pas qu’une agence produira de meilleurs résultats qu’un freelance qui orientera ses prestas sur la formation, je pense même que c’est le contraire. Certes je prêche un peu pour ma paroisse, mais c’est en toute objectivité ;)
Me concernant, le « sur mesure » n’est plus une option. Chaque client, chaque projet est unique, avec ses forces et ses faiblesse. L’art du prestataire référenceur est également là : avoir l’œil et le background suffisant pour percevoir les besoins réels du client, et lui proposer des solutions en adéquation avec ses besoins, ses objectifs, ses compétences… et la réalité des moteurs (Google).
Encore un excellent article avec une vision du SEO que j’approuve totalement.
Les modifications qu’a apportées Google à son algorithme de classement des résultats n’ont pas fait que modifier les techniques d’optimisation proprement dites. Elles ont poussé les référenceurs indépendants et les agences à revoir leur approche de la notion de services dans la mesure où eux et leurs clients sont maintenant obligés de mener une relation d’échange. En effet, en plus de l’on-site et du netlinking qui nécessitent des connaissances et des compétences spécifiques, le contenu est devenu le 3e maillon de la pyramide du SEO. Or, qui mieux que le client lui-même peut en produire de manière quantitative et surtout qualitative ?
Plus que jamais, les professionnels du référencement et leurs clients doivent donc avancer main dans la main dans un intérêt commun : progresser dans les SERPs.
Salut,
Que dire sinon que je suis entièrement d’accord avec ton analyse : client & prestataire doivent avancer main dans la main !
On a l’exemple d’un client qui est nous appelle un matin en nous disant « j’ai négocié un lien sur le site de TF1 » ! Comme quoi, les clients qui s’investissent dans les projets SEO peuvent dépasser toutes les attentes ;)
Notre politique à l’agence est d’ailleurs claire, on ne signe que des contrats SEO pour lesquels on a la main sur tous les leviers : stratégie, création du site, branding, marketing, éditorial, social…
A+
Du bon sens que du bon sens.
Je préfère d’ailleurs largement faire du transfert de compétence quand le client à du personnel qualifié sous la main.
Ca me permet de déléguer pas mal de tâche plutôt chiante pour me concentrer sur la stratégie.
D’ailleurs la plupart des meilleures liens ne sont accessibles que par les clients qui peuvent avoir une relation beaucoup plus proche qu’un simple consultant freelance non spécialiste du secteur. Le fait qu’il réussisse ou pas dépend uniquement de leur volonté et de leur implication une fois qu’on a donné les bonnes pistes.
Du coup mon boulot se tourne également plus vers la webanalyse afin de pouvoir affiné et prévoir les stratégies seo, ce qui n’est pas pour me déplaire ;)
dans l’ensemble, je suis d’accord avec toi.
Concernant le contenu, un bon rédacteur devrait être capable de produire un bon texte si les spécifications sont bien faites.
Rares sont les clients capables d’écrire pour le web mais ok pour la formation ! mais parfois c’est l’envie ou le temps qui manque !
Bonjour Aurélien;
En un mot comme en cent, je souscrit à chacune de tes phrases. Si je vendais du référencement, j’en garderais au moins une chose en pratique. Je commencerais par dire à mon client qu’il devrait être le principal artisan de sa visibilité sur le web.
@Mikiweb : Tu as bien raison ! Niveau relationnel, le client aura beaucoup plus de facilité à obtenir des partenariats de qualité pour le linkbuiding. Le publi-rédactionnel aussi.
@Christophe : Un client qui n’a pas les ressources pour écrire correctement et expliquer son activité est généralement dans une impasse… et pas qu’en terme de SEO. Le minimum pour prétendre tirer partie du canal web est de savoir écrire.
@Lionel : Complètement d’accord, c’est le client qui doit être l’acteur principal de sa visibilité ! Mais que le message est dur à faire passer !
Bonjour Aurélien,
Bravo pour cet article qui résume très bien la nouvelle donne dans la vente de référencement.
Je pense qu’il est aussi nécessaire d’informer le client, du risque, on ne va pas se mentir, même si une agence se dit plus blanche que neige, le fait est que le référencement aussi naturel soit il, dès qu’il passe dans les mains d’une agence ou d’un seo freelance devient potentiellement « dangereux », puisque l’objectif est de tromper artificiellement un algorithme.
Dès que les clients sont sensibilisés à cette manipulation qui ne va pas dans le sens des moteurs de recherche, il devient plus facile de comprendre l’intérêt de s’appuyer sur un consultant, pour être guidé dans un univers complexe, mais où en réalité pour être le plus naturel possible il faut probablement en savoir le moins possible.
Ca rejoint ce que disait Ian Portent il y a quelques semaines (disclaimer auto promo) traduit par mes soins : Le SEO, c’est quoi en fait ?, qui revient à la question de bon sens plutôt que de petites recettes.
Un très bon article que voilà, sur un sujet relativement peu traité.
Sur le principe, je suis entièrement d’accord : le client sera celui qui parlera le mieux de ses produits et services, et c’est donc lui qui saura rédiger les meilleurs contenus. Dans l’idéal, c’est donc bien lui le maître de sa visibilité.
Le souci, c’est que soit il manque de budget, soit il manque d’intérêt pour cet aspect. Et c’est valable pour plein d’autres secteurs d’activité : pourquoi s’emmerder à comprendre et à maîtriser la prospection commerciale si une agence spécialisée le peut ?
Donc à mon avis il faut s’adapter au client : dans certains cas, on peut tout externaliser, et dans d’autres rien du tout à part le consulting. Le mieux, c’est effectivement de proposer du conseil pour que le client puisse parvenir à ses fins.
100% d’accord maintenant trop de gens en entreprise (Notamment la mienne :-) ) ne font pas l’effort de s’intéresser au SEO alors que je travaille pour un annonceur et le pire c’est qu’on leur donne la responsabilité de la partie rédactionnel du blog et de la partie réseau sociaux !!!! Ils ne savent même pas créér une page FB :-) Mais je fais partie d’un grand groupe ! Donc maintenant je bouge dans une PME et je reprends tout le SEO en main avec un petit stagiaire que je vais former sur les bases et « LE BON SENS » surtout !!
@tanguy : Entre totalement externaliser le SEO et confier la tache à un petit stagiaire, je ne pense pas que ces deux options (surtout la tienne) soient dignes du « bon sens ».
A la question de savoir si le SEO doiut être sous traité, ma réponse est simple : si l’on est un expert SEO, non. Si l’on bricole en référencement, oui.
Il n’y a pas plus de 2 alternatives depuis que Google a sorti Panda pui Pingouin, surtout la mise à jour Pingouin 4 de fin mai 2013. Soit nous ne sommes pas des pro du référencement, mais on se documente autant qu’un expert SEO, et l’acquisition des moyens pour faire le travail soi-même est là, auquel cas on pourrait même devenir un prestataire seo, lol. Soit nous savons très bien que nous ne sommes pas assez à niveau, et c’est la prise de risque. Le risque est trop grand à mon goût, et là, je préfère une prestation SEO tarifée qui donne du résultat.
« Ya les bons et les mauvais chasseurs… » et les mauvais chasseurs, comme dans le sketch, ceux sont ceux qui se trouvent toujours des bonnes excuses et ils sont l’immense majorité. On remplace chasseur par référenceur et le constat est le même.
A la décharge du métier, celui-ci devient de plus en plus protéiforme et touche les principaux centres nerveux de l’entreprise.
Mais la dernière mutation, due à Panda, l’author ship et la sémantique, réforme considérablement la donne. Le référenceur devient plus rédacteur que technicien. Il doit savoir écrire sur tout. Dans un journal on dirait: « Hey coco, un bon journaliste c’est celui qui sait faire un bon papier le soir sans rien connaître du sujet le matin ».
Par contre pour la mutation psy : rien à dire. il faut savoir écouter et soigner le client. Et ils sont tous des cas-napés :-)
Je suis mitigé par rapport à cet article. Ayanté été seo in-house, je sais bien l’intérêt d’être directement chez le client, et d’avoir un réel impact sur l’ensemble de l’organisation, des chargés de com’ au responsables marketing pour faire passer les bonnes pratiques.
D’un autre côté, quand un client appelle, c’est qu’il n’a pas le temps de s’occuper de seo, et même s’il est important de le former aux bonnes pratiques, s’il nous appelle, c’est bien pour que l’on s’occupe de son cas….
Un consultant SEO peut en revanche orienter le client pour une stratégie plus performante. Il est vrai que le client seul saura vraiment comment parler de ses produits, mais justement il peut fournir un brief complet pour de la rédaction.
Je suis partiellement d’accord avec ton article, après c’est plus sur le principe d’un travail consciencieux ou non
Bonjour Aurélien,
Je pense que les deux grandes difficultés à faire entendre raison aux clients sont:
– que les clients n’y connaissent souvent rien et pire, certains croient savoir (à tord) et donc je te rejoins sur la nécessité de les former
– que nombre de soi-disant référenceurs font vraiment n’importe quoi et étiolent le peu de confiance en la profession que peuvent encore avoir les clients
Il va donc de soi que plus le client maîtrise le sujet, plus il sera facile de travailler avec lui et plus il sera indépendant.
Par contre lorsque tu parles des annuaires et des communiqués de presse, pourrais-tu préciser ta pensée: faut-il se limiter ou plutôt laisser tomber les soumissions.
Pour ma part, je pense que quelques inscriptions de qualité sur de bons supports bien tenus restent bénéfiques, mais il est clair que les soumissions de masse sont à laisser tomber.
Merci d’avance pour tes précisions.
Cordialement,
Bruno
@Bruno :
Merci pour ton commentaire. Ta question évoque un sujet (un peu tabou chez les SEO) qui trotte dans ma tête depuis un moment, auquel on ne peut répondre de manière manichéenne :
Faut-il abandonner tout processus de linking artificiel ?
Dans un monde de bisounours, bien rangé derrière les guidelines de Google, oui. Après tout, un site avec un vrai contenu doit pouvoir générer « naturellement » du backlink sans que son éditeur ait besoin de faire des soumissions dans les annuaires et CP. Mais ça, on le sait tous, c’est la théorie. Dans la pratique, un nouveau projet a besoin d’un coup de starter pour amorcer sa visibilité « naturelle », pour rivaliser avec la concurrence etc.
Inscrire un site sur des annuaires thématiques de qualité n’a rien de répréhensible, au contraire… mais dans le référencement moderne (post pingouin), tout est affaire de dosage, évolution dans le temps, et recoupement avec le rythme de publication de contenu… et l’appétence des visiteurs sur ce dernier point. Pour faire simple, un backlink n’a de valeur (pérenne) que s’il peut être interprété (par Google et les internautes) comme une caution de crédibilité vis-à-vis du contenu ciblé.
Cette notion n’est pas toujours simple à transmettre… Pourtant c’est une question de bon sens et de logique plus que de stratégie. C’est pourquoi, avec une part importante de mes clients la partie acquisition de backlinks est plutôt en retrait par rapport à la création et optimisation de contenu pour tendre vers le linkbaiting.
Pour parler plus spécifiquement des annuaires et CP, il faut de toute évidence miser sur les plus réputés et les plus exigeants, thématiques si possible, et faire en sorte qu’ils ne soient pas prédominants dans le corpus de backlinks. Au cas par cas, on les utilisera soit pour donner un coup de pouce à un site, soit pour diluer un profil de backlinks qui présente trop d’ancres optimisées et/ou dirigés exclusivement vers une page spécifique (home). Travailler principalement son référencement par ce biais, sera au mieux improductif surtout s’il y a de la concurrence.
Pour répondre directement au titre de ton billet…. non, non et encore non faut vraiment sus-traité des trucs très spécifiques sur lequel on a besoin d’un expert. Si on n’y connait pas grand chose en SEO et bien il faut y aller doucement et ponctuellement demander une presta sur un point spécifique er chercher le meilleur possible dans le secteur et savoir que cela va couter un bras (voir un bras et un rein) le SEO « pas cher » c’est finit on doit bosser sur des petites actions, des frappes chirurgicales ;) et apprendre, apprendre et encore apprendre le SEO est une partie fondamentale du métier d’éditeur de site ou d’e-commerçant on ne peut pas en faire l’économie. On en pourra travailler en bonne harmonie avec un SEO que si soit même on a quelques bases solides… mais c’est aussi au SEO de faire son boulot de formation et d’explication ça évite les mauvaises surprises
Oui le client est le mieux placé pour s’assurer de sa visibilité, et de créer son propre contenu puisque il sait parler de son propre cœur de métier.
Cependant, pour des questions de temps, il ne veut pas assurer ces prestations lui-même.
Il reste des clients qui sont sensibilisés (et à nous – SEO – de les évangéliser) à la création de contenus, qui leur permettront d’acquérir trafic et liens.
Notre apport doit être précis, forgé de conseils.
S »il vous plait, arrêtez d’utiliser le mot « backlink » à mauvais escient, un backlink est issu d’un échange de lien réciproque, ( d’ou le « back » dans backlink ). Pour le reste je ne suis pas trop d’accord sur le contenu, j’ai des clients qui ont des sites sans contenu et qui se placent très bien : leur site est une image géante ! Je n’ai pas encore compris comment cela était possible, mais j’ai plusieurs cas similaires, je doute donc de l’importance du contenu roi comme tente de nous le vendre Matt Cutts…
Comme vous savez, le référencement n’est pas un science exacte, jusqu’à maintenant nous n’arrivons pas encore à définir les notions de base de ce métier .Alors, je pense que le client peut faire de SEO lui même après une petite formation :)